Dans les premières heures du matin du dimanche 7 juillet, un incident tragique a secoué le quartier d’Agoè-Cacavéli, à proximité de l’Église catholique Saint Jean Baptiste de la Salle. Une femme d’environ trente ans, identifiée comme « Mimi » et employée dans un restaurant voisin, a été retrouvée sans vie. L’information a été révélée par le site Plumedafrique.
Les circonstances entourant sa mort suggèrent un acte prémédité plutôt qu’un suicide, selon les témoins sur place. Le sac de la dame contenant la carte nationale d’identité de la victime, son casque et ses affaires à ses côtés font dire aux témoins sur place que c’est un meurtre prémédité.
« … il y avait beaucoup de coups »
‘‘Ce matin, j’allais à la messe matinale de 5 heures. Et arrivé au niveau de l’église j’ai trouvé un corps à terre. C’était une dame, une fille. Moi même quand j’ai vu la personne, je me suis demandé quel malfrat aurait pu faire ça? Si elle était attaquée, au moins on devait prendre son sac et ses affaires. Les gens disent aussi qu’on l’a assassinée. C’est terrible quoi. Et puis quand tu vois sur le corps aussi, il y avait beaucoup de coups’’, a déclaré un témoin, rapporté par le confrère.
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Peu avant midi, la police a transporté le corps de la victime à la morgue pour des investigations plus approfondies. Les autorités n’ont pas encore communiqué sur les causes exactes du décès, mais les premiers éléments suggèrent un homicide volontaire, potentiellement lié à un règlement de compte.
La police criminelle, chargée de l’enquête, peut exploiter les enregistrements des caméras de surveillance installées devant une résidence en face du lieu du crime pour obtenir des indices cruciaux.
Togopost
