Fin à Lomé de la formation de lutte professionnelle (Catch) pour les athlètes ouest-africains. C’était le dimanche 3 mars dernier. La formation de trois jours a regroupé à Lomé, des athlètes venus de différents pays de la sous-région.
Ils étaient près de 100 athlètes venus du Ghana, du Nigéria, du Bénin et du Togo entre autres à prendre part à la formation. L’initiative est de l’Association Togolaise de Catch.
La cérémonie de lancement s’était déroulée le vendredi 1er mars en présence d’Habib Adam, Président de l’Association Togolaise de Catch, de Monsieur Olesesan, Secrétaire Général de la Confédération Africaine de Catch, et du coach formateur des athlètes.
Vulgariser le Catch
L’objectif de cette formation, à en croire Monsieur Adam Habib, c’est de vulgariser cette discipline sportive.
« L’Afrique est vraiment loin quand on parle de Catch. Pour arriver au niveau où les autres sont, il faut qu’on forme les athlètes ; Le catch semble être violent, mais quand on connaît les codes et règles, on se rend compte que c’est une discipline qui est moins dangereuse que la boxe et autres », a déclaré Monsieur Habib.
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L’idée, à long terme selon lui, c’est d’arriver à « faire intégrer nos athlètes dans les compétitions internationales pour que le nom de l’Afrique soit aussi cité ».
« Après tout, on compte organiser des compétitions locales ou sous-régionales », aussi ajoute-t-il.
Ont pris part à cette formation, concrètement, des pratiquants de lutte, de karatékas, de Gim etc…
Les trois jours de séance ont été bouclés par démonstrations des athlètes. Des shows sont annoncés pour très bientôt à Lomé et dans d’autres villes de la sous-région.
Stan AZIATO
