Innocent KAGBARA et le PDP marquent un soutien total aux grandes orientations issues du Le 9ᵉ Congrès panafricain de Lomé consacre une étape décisive dans l’évolution du panafricanisme. Il confirme que l’Afrique est entrée dans une nouvelle phase : celle du passage de la conscience historique à l’action politique, diplomatique et économique concrète.
En dénonçant un ordre international structurellement défavorable, le Congrès met en lumière une réalité longtemps ignorée. La revendication d’un multilatéralisme plus juste, représentatif et équilibré rejoint pleinement la vision portée par le PDP, qui fait de la souveraineté africaine un pilier central de son combat.
Le rappel du Consensus d’Ezulwini, l’exigence d’une réforme du Conseil de Sécurité des Nations unies et l’appel à une coordination africaine permanente traduisent une volonté claire : l’Afrique doit parler d’une seule voix sur la scène internationale. C’est précisément cette unité stratégique que le PDP défend depuis ses origines.
Sur le plan mémoriel et moral, la reconnaissance des crimes historiques, la demande d’excuses officielles et de réparations, ainsi que la lutte contre les nouvelles formes de discrimination, confirment que la justice reste indissociable du développement. Le soutien aux initiatives Union africaine–CARICOM et la création d’un mécanisme panafricain de suivi renforcent cette exigence de cohérence et de responsabilité.
Le Congrès insiste également sur la décolonisation de l’esprit, la valorisation des langues africaines, la restitution des biens culturels et la promotion de systèmes éducatifs afrocentriques. Ces orientations rejoignent la conviction du PDP que la bataille culturelle est au cœur de la bataille politique.
Sur le plan économique, l’appel à un développement autocentré, fondé sur les ressources endogènes, l’épargne de la diaspora et des instruments panafricains de financement, confirme que la dépendance extérieure n’est pas une fatalité, mais un choix que l’Afrique peut dépasser.
Enfin, la place centrale accordée aux femmes et aux jeunes, ainsi que la mise en place d’un mécanisme de suivi confié au Togo, donnent à ces conclusions une portée opérationnelle et mesurable.
Ce que beaucoup découvrent aujourd’hui, le PDP l’a compris et porté bien avant.
Le panafricanisme n’est pas un slogan : il est le cœur de la bataille du PDP, un projet de transformation profonde, assumé et visionnaire.
Le 9ᵉ Congrès panafricain confirme ainsi que le temps de l’Afrique n’est plus à l’attente, mais à l’action collective et souveraine.
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